Léona Béatrice
Martin-Starewitch.
Petite fille de Ladislas
et Anna Starewitch, nièce d’Irène, fille de Jeanne « Nina Star ».
Restaure et diffuse l’œuvre de Ladislas Starewitch, a publié une biographie (Ladislas
Starewitch, « Le cinéma rend visibles les rêves de l’imagination« ,
édité sept DVD de films de L. Starewitch et organisé des expositions en France
et à l’étranger.
François Martin
Formation
d’historien. Participe étroitement à l’inventaire et à la restauration de
l’œuvre de Ladislas Starewitch ainsi qu’aux publications et aux manifestations
qui le concernent. S’intéresse aussi à l’histoire politique du Niger, a publié
« Le Niger du président Diori » .
Hervé AUBRON
Critique de cinéma, rédacteur en chef adjoint du Magazine Littéraire, Hervé
Aubron enseigne le cinéma à l’université Paris 3 Sorbonne nouvelle.Il
est notamment l’auteur de Génie de Pixar (éd. Capricci) et d’un essai sur
Mulholland Drive, de David Lynch (éd. Yellow Now).
Jacques CAMBRA
Pianiste, compositeur
et improvisateur, Jacques CAMBRA accompagne des films muets depuis une vingtaine
d’années, que ce soit en solo ou en dirigeant des formations musicales variées,
se constituant au fil du temps un large répertoire à partir des œuvres d’une
centaine de réalisateurs.
Pianiste attitré du
Festival International du Film de la Rochelle, Artiste Associé de l’Arras Film
Festival, il est notamment programmé à la Villa Médicis de Rome, à la Cinémathèque
Française, au Centre Pompidou ou au Musée d’Orsay et à l’international dans
une dizaine de pays. Directeur et fondateur de Fos’Note, il mène des projets
internationaux avec des Instituts Français et des ambassades, ainsi que des actions
pédagogiques avec des conservatoires de musique et des Universités.
Gérard COURANT
Né en 1951 à Lyon,
Gérard Courant est un cinéaste, écrivain, acteur, poète et producteur indépendant
français. Au milieu des années 1970, il prend la direction du ciné-club universitaire
de l’Université de Dijon où il programme des dizaines de films
d’avant-garde. Il s’installe à Paris en 1975 et participe aux travaux du Collectif
Jeune Cinéma. En tant que critique de cinéma, il prend la défense d’un cinéma
libre et indépendant. Il est également l’un des cinéastes les plus prolifiques
du cinéma. Depuis 1978, il a inventé, réalisé et produit le Cinématon,
le film le plus long du monde (192 heures). Le film est en cours de tournage perpétuel
et consiste à filmer des personnalités artistiques, toutes confrontées aux mêmes
règles : être filmées en gros plan, fixe, muet, d’une durée de 3min 20s
(la durée d’une bobine en Super 8), libres de faire ce qu’elles veulent devant
la caméra. En tout, il a tourné plus de 6000 portraits films et un nombre très
important d’autres films (plus de 700), notamment les Carnets
filmés, à mi-chemin entre le journal filmé et les esquisses des
peintres. En 2015, il existe 262 épisodes.
Entre la fiction et
le documentaire, l’essai et le journal, l’expérimental et un cinéma sériel,
Gérard Courant explore toutes les possibilités offertes par le cinéma.
Jean DOUCHET
Né en 1929 à
Arras, Jean Douchet poursuit des études de philosophie à la Sorbonne où il suit
les cours de Merleau-Ponty, Bachelard, Lagache et Souriau. Il participe à la formation
de ce qui deviendra l’équipe des Cahiers du Cinéma puis la Nouvelle Vague. Dès
1950, il écrit dans la Gazette du Cinéma. En 1957, il commence sa collaboration
comme critique aux Cahiers du Cinéma, reconnu pour sa défense du cinéma d’auteur
hollywoodien de la grande époque (Hitchcock, Hawks), et à l’hebdomadaire Arts
jusqu’en l962.
Il anime depuis de nombreuses
années un ciné-club hebdomadaire à la Cinémathèque française. Les projections
sont suivies d’une analyse et d’un débat avec le public. Il anime également,
une fois par mois, le ciné-club de la Cinémathèque de Nice, le ciné-club du
cinéma du Panthéon3 et le ciné-club du Centre des Arts à Enghien-les-Bains ainsi
que des stages d’analyse filmique à Dijon pour la Cinémathèque de
Bourgogne.
Marina FEODOROFF
Diplômée de langue
et civilisation russes à l’Inalco et en cinéma à l’Université Paris I, puis
de tchèque à l’Université Charles de Prague, Marina Feodoroff s’est tout
d’abord spécialisée dans le cinéma russe et soviétique, tout en s’intéressant
de près au film d’animation, au cinéma muet et aux cinématographies étrangères,
en particulier des pays de l’Est.
Ayant travaillé douze
ans à l’Association française du cinéma d’animation, elle s’est ensuite
tournée vers ses propres activités de traduction, de recherche et d’écriture
sur le cinéma d’animation tchèque et russe, se consacrant aux biographies de
Břetislav Pojar et de Berthold Bartosch ainsi qu’à la traduction de films
et notes de travail de Ladislas Starewitch.
Et Erwan LEGAL
!!!